Art sacré, III : le XXIe siècle

Y a-t-il un art sacré du XXIe siècle ? Après les directives des papes de la fin du XXe siècle sur l’art sacré, un constat doit être fait au début du XXIe siècle : l’un des principes émis par la Constitution Sacrosanctum concilium est mis à l’épreuve. Construire de grandes « maisons communes » pour un peuple de Dieu nombreux, des nefs à la hauteur des cathédrales du moyen Âge, n’a plus de sens alors que ces églises se vident. Des industriels construisaient encore au milieu du XXe siècle pour leur personnel, au sein même d’une cité ouvrière,une église aussi nécessaire à leurs yeux qu’un stade ou une piscine. Quant à la suprématie d’un art abstrait justifié par la certitude que sa symbolique pouvait être appréhendée sans difficulté par des fidèles instruits des vérités de la foi, elle n’a plus de sens pour les générations élevées dans l’ignorance ou dans l’indifférence à ces mêmes vérités.

Dans deux précédents articles, nous avons tenté de brosser un état des lieux de l’art sacré au long du XXe siècle. Nous avons relaté les querelles, dont la vigueur était liée au nombre d’édifices construits, et à la variété des principes qui guidaient les artistes de ce siècle : l’urgence de mettre en architecture ou en décoration les vérités de leur foi catholique, ou, pour les artistes non croyants, la recherche de confrontation à ces mêmes vérités dans une posture qui pouvait aller d’un respect « sacré » à un défi délibéré des valeurs théologiques et esthétiques.

Benoît XVI et l’art sacré

Benoît XVI s’est exprimé lors d’une rencontre avec les artistes dans la chapelle Sixtine le 21 novembre 2009, dix ans après son prédécesseur Jean-Paul II. Il a commencé par rappeler l’initiative de ces rencontres, lancée par Paul VI en 1964 pour réaffirmer « l’amitié entre l’Église et les arts », citant  son adresse aux artistes : « Votre art est celui de saisir du ciel de l’esprit ses trésors et de les revêtir de mots, de couleurs, de formes, d’accessibilité »1. Benoît XVI cita aussi Dostoïevski : « L’humanité peut vivre sans la science, elle peut vivre sas pain, il n’y a que sans la beauté qu’elle ne pourrait plus vivre ». Rappeler à l’homme son destin ultime, le remettre en marche, le remplir à nouveau d’espérance, donner le courage de vivre jusqu’au bout « le don unique de l’existence », telles furent les fonctions de l’art sacré selon cette déclaration de Benoît XVI, loin de toute fuite dans l’irrationnel ni le pur esthétisme.

Dans son discours de Barcelone2 lors de la dédicace de l’église de la Sagrada Familia et de son autel, Benoît XVI insista encore sur la valeur de la beauté, « révélatrice de Dieu » et caractérisa l’œuvre belle : « pure et gratuite, elle incite à la liberté et arrache à l’égoïsme ».

Au-delà de ces vœux très pieux, l’intérêt de Benoît XVI s’est surtout porté sur la musique, art qu’il pratiquait lui-même, et la liturgie comme art sacré. L’architecture et la décoration des églises l’ont moins préoccupé, et déjà on pouvait déplorer la chute de fréquentation des églises pour le culte, les difficultés de maintenir le patrimoine religieux existant en bon état, les problèmes de financement de nouveaux et anciens bâtiments.

Les citations de son prédécesseur sont aussi reprises dans ses discours ou adresses aux artistes, spécialement sa « Lettre aux artistes » d’avril 1999 : « même lorsqu’ il scrute les plus obscures ou les plus bouleversants aspects du mal, l’artiste se fait la voix de l’attente universelle d’une rédemption » Et de citer pour finir Simone Weil : « Dans tout ce qui suscite en nous le sentiment pur et authentique de la beauté, il y a réellement la présence de Dieu. La beauté est signe que l’Incarnation est possible ».

Un « nouvel art sacré » ?

Benoît XVI aura été témoin, plus que ses prédécesseurs, du changement de paradigme dans l’édification des églises : à l’origine lieux à usage d’administration royale ou impériale (les « basiliques », de basileus, « roi ») cédés aux premiers chrétiens à la fin des persécutions, elles ont suscité au cours des siècles un vaste et puissant mouvement de création propre, avec leur architecture singulière, qui a peut-être culminé en majesté avec l’édification des grandes cathédrales gothiques d’Occident.

Les lieux de culte de la chrétienté ont ensuite toujours été organisés différemment des lieux de culte païens, pour devenir lieu sacré car lieu de célébration exclusif de la liturgie, ce que rappelle pertinemment Marc Levatois : « le lieu saint est le lieu des saints, le lieu sacré est celui où se déploie la liturgie et où le croyant se meut selon un rite ». La fin du XXe siècle a été marquée par un courant architectural inverse, tendant à construire les églises comme des bâtiments administratifs, des salles polyvalentes destinées à accueillir avant de célébrer, et ouvertes au recyclage pour d’autres usages, voire d’autres confessions.

Louis Bouyer le déplorait déjà en 1967 dans son ouvrage « Architecture et liturgie » : « trop souvent, nous ne faisons qu’adapter à l’usage de l’Église quelque genre de bâtiment moderne : salle de réunion, salle de classe, voire cinéma… ». Et nous rappelait quelques vérités plus que jamais fortes : « l’autel est une table mais pas n’importe quelle table. L’Eucharistie est un repas mais pas n’importe quel repas. (…) un cérémonial parfaitement ordonné, dans une église belle, devrait aider à la réalisation de la joie spirituelle sans laquelle il n’y a pas de culte eucharistique authentique ». Il jugeait sévèrement la « conception moderne de la liturgie, purement rubristique, le didactisme sans inspiration, la spiritualité abstraite, qui s’accommodent trop facilement de la misère des édifices où nous expédions un devoir dominical maussade ».

De (trop ?) nombreux acteurs à l’œuvre dans l’art des églises

L’empilement des acteurs de l’art sacré, déjà très complexe après Vatican II, ne facilite pas la tâche des parties en présence : clergé, municipalités, administrateurs culturels, associations de fidèles. Le « Comité national d’art sacré » de 1967, devenu « département d’art sacré » au sein du Service national de la Pastorale liturgique et sacramentelle, les « commissions diocésaines d’art sacré »3 de 1981, en lien avec l’État et les communes, ont travaillé à la mise en place de nouveaux aménagements liturgiques suite aux prescriptions de Vatican II et à gérer les relations fonctionnelles avec les différents services de l’État, telle la « Délégation aux arts plastiques » mise en place par le Ministère de la Culture pour de veiller à l’intégration de l’art contemporain dans les monuments historiques et promouvoir les métiers d’art liés à leur restauration ou conservation.Le comité du patrimoine cultuel créée spécialement en 2002 pour conseiller le ministère de la culture dans le domaine de la protection, de l’enrichissement et de la présentation du patrimoine religieux (toutes religions) a été supprimé en 2015. Le label non contraignant « Patrimoine du XXe siècle » lancé en 1999 est rebaptisé depuis 2016 « Architecture contemporaine remarquable » – la notion de « contemporain » signifiant que l’œuvre a moins de cent ans.

Le Sénat a déposé en 2022 un rapport d’information sur l’avenir du patrimoine religieux en péril4. 15.000 édifices religieux (toutes confessions confondues, mais en France la majorité sont des lieux de culte catholiques) sont protégés au titre des monuments historiques, 8.000 ne le sont pas. Ce nombre reste très en deçà de la réalité du nombre d’édifices présentant un intérêt historique, culturel, architectural ; en effet, toutes les régions ne se sont pas penchées sur leur patrimoine religieux, même si L’État a la possibilité de mettre en demeure une collectivité territoriale défaillante. Les plus petites communes sont les moins exposées au risque de détenir des monuments en péril que les communes moyennes, en raison (infère le rapport du Sénat) du caractère d’identité que portent ces monuments pour les habitants (croyants ou non) : on le voit avec les protestations parfois suivies d’effet, des habitants dans leur ensemble lorsqu’il s’agit de déplacer ou de déboulonner une statue ou un calvaire. Le secteur privé s’engage aussi avec des fondations – telle « Sauvegarde de l’art français » pour le sauvetage des églises rurales. La situation est plus « tracée » (mais plus complexe) dans les villes moyennes, et dans les grandes villes. À Paris la COARC (Conservation des œuvres religieuses et civiles) de la Ville de Paris a pour mission l’inventaire, l’étude et la restauration du patrimoine religieux dans les lieux de culte (tableaux, fresques, objets liturgiques, etc.) et des statues présentes dans l’espace public (tous cultes confondus).

Rénover, reconstruire, restaurer : des raisons d’espérer ?

De nombreuses restaurations, la plupart bienvenues et nécessaires font donc place, à la faveur de la multiplicité des acteurs, à des tentatives audacieuses dans lesquelles l’art contemporain puise dans l’iconographie chrétienne pour la mettre en valeur parfois, quitte à la vider de son sens, et pour souvent la détourner de son objectif de sacralisation du lieu et de pédagogie des vérités de la foi. L’artiste graveur Aude de Kerros nous le démontre.

La défense de ces œuvres est ainsi l’objet de contorsions du discours destiné à justifier des postures d’autorité morale et intellectuelle sur l’iconographie chrétienne.

Ainsi l’artiste qui a réalisé les vitraux de la cathédrale de Strasbourg en 20155 se félicitait de ce qu’une « église ou une cathédrale, c’est un lieu où il y a une énergie spéciale, un lieu gratuit où l’on peut se promener, prier, voire des œuvres d’art…. des refuges, des lieux calmes, des lieux spéciaux qui sont hors normes »… où son travail avait pour but de« dire quelque chose du monde d’aujourd’hui », non sans toutefois recevoir « ce qu’il a à nous donner du passé ». Un commissaire d’exposition (se déclarant « non pratiquant ») se réjouit que des expositions d’artistes contemporains dans des lieux qui ont été sacrés et ne le sont plus (le Collège des Bernardins) aident l’Église à « s’ouvrir sur la société, les réalités contemporaines, la technologie, l’histoire, la formation… ».

A Saint Jean Baptiste de Sceaux (Hauts de Seine, région parisienne) unnouveau mobilier liturgique vient d’être installé (juin 2023) dans cette église construite au XIIIe siècle et profondément restaurée au XIXe puis classée Monument historique en 1929 : autel, avec les fonts baptismaux, l’ambon, les sièges de présidence.

Paul-Louis Rinuy dit de cet ensemble en bois et en or créé par Nicolas Alquin et Marc Alechinsky, qu’il est « d’une noble simplicité, avec des matières et des formes qui condensent une énergie marquante, celle du Saint-Esprit à la Pentecôte, mais disent aussi simplement la beauté, la puissance, la force de ce monde. L’autel, l’aménagement liturgique, ne sont pas des objets d’adoration sacrés, ils sont simplement consacrés et ordonnés à une fin qui les dépasse et nous réunit. C’est l’autel du Christ qui nous accompagne au-delà de notre expérience matérielle et nous ouvre un chemin ».

A Varennes Jarcy (Essonne), l’église Saint Sulpice du XIIIe siècle avait reçu des vitraux déposés de l’abbaye de Jarcy, conservés désormais au musée parisien de Cluny et remplacés par des verrières industrielles. En 2002 l’artiste vitraillier Carole Benzaken et les ateliers Duchemin ont réalisé pour remplacer celles-ci 190 M2 de vitraux, en recherchant l’harmonie avec ces lieux du XIIIe siècle doté de statues classées. Un pari réussi dans la discrétion.

Le monastère de la Visitation de Paris6

… où l’État et l’Église sont tombés d’accord pour « réhabiliter »… des bâtiments monastiques dotés d’une rare ferme urbaine, sans y prévoir aucun lieu de culte.

Le projet du diocèse de Paris est de détruire une partie des murs du monastère de la Visitation construit en 1819 rue de Vaugirard à Paris, afin de préparer le terrain pour l’installation de grands immeubles ; des résidences solidaires qui devraient abriter des volontaires et des personnes précaires : femmes enceintes, personnes en situation de handicap ou encore jeunes actifs. Les cinq dernières religieuses, âgées, voulaient que le site poursuive sa vocation d’entraide et de solidarité. Mais sept associations de défense du patrimoine ont interpellé la mairie de Paris et le ministère de la Culture pour demander l’expropriation et le placement sous instance de classement au patrimoine de la ferme urbaine, côté rue du Cherche-Midi, pour réhabiliter les bâtiments agricoles qui subsistent, en mauvais état,et créer un jardin ouvert au public. Ces associations estiment en effet que l’archevêché pourrait mener son projet en construisant uniquement du côté de la rue de Vaugirard, utilisant les (potentiellement conséquentes) indemnités supplémentaires issues de l’expropriation de la partie patrimoniale qui comporte un oratoire (voué donc à la destruction lui aussi). Les élus écologistes de l’arrondissement sont également partie prenante. Mais la mairie de Paris a confirmé de son côté que « le projet du diocèse, qui a fait l’objet d’un permis de construire en 2019, suit bien son cours. Il permettra la réalisation de logements sociaux dans cet arrondissement très déficitaire, et d’ouvrir au public une partie du jardin de l’ancienne congrégation »

Pour l’église Saint-Genulf du Thoureil (Maine-et-Loire), il a été demandé à un artiste qui  se dit de culture musulmane de dessiner les vitraux. Pour trouver l’inspiration, il a d’ailleurs relu… le Coran « pour savoir ce qu’il dit de Jésus et de Marie » et s’est attelé à réaliser des représentations de végétation et d’étoiles, puisque la représentation du visage humain est interdite en islam…

La chapelle Jean de Bourbon de l’abbaye de Cluny construite au XVe siècle est dotée depuis 2023 de nouveaux vitraux et de deux autels installés à l’emplacement des anciens autels. L’artiste d’origine arménienne Sarkis Zabunyan y a défendu son projet d’« apporter de la fraîcheur à ce lieu qui est un peu ruiné… je voulais signifier une pluie » (de grâces ?)

On est donc loin du vœu d’Alphonse Dupront7 : « C’est le culte qui donne au lieu sa plénitude. Sans lieu, la puissance ou la vertu cultuelles rapidement s’épuisent ».

Il reste l’espoir qu’au moins l’artiste, au-delà de l’expérience technique et esthétique, vive aussi une expérience du Mystère et puisse « laisser transparaître au monde la fécondité de Dieu, l’Esprit Saint à l’œuvre »8. Est-ce suffisant ? Si l’Art ou l’artiste a pu trouver son compte dans ces réalisations, qu’en est-il des églises et de ceux qui y assistent aux offices ? L’État conditionnant souvent ses aides à la poursuite de deux objectifs principaux : accroître la visibilité et le rayonnement du patrimoine religieux, et développer les usages partagés des édifices cultuels, Il ne faut pas s’étonner qu’en ce début de vingt-et-unième siècle,des communautés, des paroisses, désireuses d’une « restauration » de leurs lieux de culte dans son sens traditionnel, reprennent les outils des bâtisseurs et exploitent les aides possibles pour redonner à l’art « sacré » sa signification, au service du culte catholique .

Ainsi l’édification du couvent de la Fraternité Saint Vincent Ferrier à Chémeré-le-Roi, la restauration de l’abbaye de Lagrasse, des restaurations ou créations intégrées à des édifices anciens  permettent à des artistes et artisans de créer ou recréer ces espaces ainsi que les définit Marc Levatois : « Lieu des mystères du Christ, et d’incorporation à eux, l’espace sacré est défini par rapport au Christ lui-même ». Il est envisageable que la « résistance » à la mise au pas que représente Traditionis custodes donne un regain de vitalité à l’art des églises et prieurés où affluent les fidèles attachés à la messe de toujours, pour qui cet art a son sens selon ce que rappelait le pape Jean Paul II dans sa lettre apostolique de 1987 « Duodecimum seculum » : « L’art pour l’art qui ne renvoie qu’à son auteur sans établir un rapport avec le monde divin n’a pas sa place dans la conception chrétienne de l’icône. Quel que soit le style qu’il adopte, tout art sacré doit exprimer la foi et l’espérance de l’Évangile ». François Boespflug a commenté : « Si les textes de Vatican II bien respectés pouvaient sauver la liturgie de la banalité et de la laideur, ce ne serait déjà pas un mince mérite. Et sauverait l’art contemporain de sa propre captivité »

Chémeré le Roi Nouveau couvent de la FSFV

Le Père Couturier, pourtant plutôt partisan de la modernité esthétique, avait déjà répondu dans les années cinquante du XXe siècle : « il n’y a pas d’art chrétien possible quand il n’y a pas de civilisation chrétienne. » Et Henri Charlier d’insister9 : « nous ne connaîtrons pas un art chrétien d’envergure tant qu’une nouvelle chrétienté ne sera pas née ». L’abbé Alain Lorans (FSSPX) nous donne le mot de la fin : « Il est impossible de restaurer les églises si l’on ne restaure pas en même temps – doctrinalement et spirituellement – les âmes.

Bibliographie

Louis Bouyer, « Architecture et liturgie », 1967. Réédition 2009 Cerf éditions
Paul Louis Rinuy « Patrimoine sacré XXe XXIe s. Éditions du Patrimoine/ Centre des monuments nationaux
Marc Levatois « L’espace du sacré : Géographie intérieure du culte catholique », Éditions de l’Homme nouveau, 2012, 150 p., 17 euros.
Catherine Grenier « L’art contemporain est-il chrétien ? », Éditions Jacqueline Chambon Nîmes 2003.
François Boespflug « Dieu et ses images, Une histoire de l’Éternel dans l’art », Bayard, 2011.
Collectif (sous la direction de Fanny Drugeon et Isabelle Saint-Martin) « L’art actuel dans l’Église », Éditions Ereme, 2012.
Daniele Menozzi « les images, l’Église et les arts visuels », Cerf 1991.
« Créations contemporaines en vitrail, Vitraux du XXe siècle et architecture sacrée », Centre international du vitrail de Chartres, 2005.
« Quand la parole donne lieu, ou de l’espace liturgique » François Cassingena-Trévedy
La Maison Dieu, N°239, année 2004
« L’art actuel dans l’Église » Collectif sous la direction de Fanny Drugeon et Isabelle Saint Martin, Éditions Ereme, 2012.

Article publié dans la revue Una Voce n°346 de Mars – Avril 2023

  1. Insegnamenti II, 1964
  2. Le 7 Novembre 2010
  3. Voir les actes du colloque des CDAS de mars 2011 « l’Église et l’art contemporain » www.liturgiecatholique.fr
  4. Rapport n° 765 du 6 juillet 2022 « Patrimoine religieux en péril : la messe n’est pas dite » https://www.senat.fr/rap/r21-765/r21-7650.html
  5. Véronique Ellena, artiste plasticienne et photographe
  6. Source : « Paris historique », revue de presse de janvier 2024
  7. Alphonse Dupront « Du sacré », Gallimard, 1987
  8. P. Michel Brière, aumônier de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris, 2019
  9. Henri Charlier « L’art dans la cité chrétienne » in « Problèmes de l’art sacré », Le Nouveau Portique, 1951