ART SACRÉ AU XXe siècle (II)

À découvrir : Art sacré : à la plus grande gloire de Dieu (I) 

Dans une première partie parue dans le numéro 337 de la revue UNA VOCE, nous proposions une approche de l’« Art sacré », désignant l’architecture et les arts décoratifs des édifices religieux , en relatant les conflits que suscitèrent certaines œuvres de la première partie du XXe siècle – en particulier lorsqu’elles furent réalisées par des artistes ne confessant pas la foi catholique. Nous abordons aujourd’hui la deuxième partie de ce XXe siècle, marqué par les prises de position des papes sur les rapports entre l’Église et les arts, en pleine ère de reconstruction d’après-guerre.

Au moment où commençait la reconstruction, certaines régions comme la Lorraine et la Normandie ayant enregistré des destructions dont le nombre n’est dépassé que par celles de certaines provinces allemandes de la vallée du Rhin, la querelle du « non figuratif » était active, après les premières expériences reçues très différemment. Ce fut presque une nouvelle « querelle des images », l’art non-figuratif étant accusé de déformer le sacré et de créer du scandale, entre hermétisme et insignifiance. Sa dimension « conceptuelle », son affranchissement délibéré du lisible et de l’édifiant, ne convenait pas à la religion de l’Incarnation. Mais déjà des artistes chrétiens (verriers, peintres, architectes) étaient favorables à l’expression non-figurative, par son incitation à la contemplation et sa dimension de mystère suscitant un approfondissement du regard pour aller au-delà des apparences. « L’art religieux est aux avant-postes des modernités, il peut attirer des artistes, même les plus lointains dans leurs convictions, pour peu qu’ils semblent possédés par une profonde inquiétude artistique et spirituelle » (B. Foucart). Les Monuments Historiques s’impliquèrent pour intégrer le vitrail non-figuratif dans les édifices classés dès 1960. Un historien de l’art du XXe siècle, Bernard Mercier, estime même que « la tendance non-figurative dans l’art sacré a trouvé en France un terrain d’élection, ce pays a joué un rôle prépondérant dans sa diffusion, pour laquelle de grands artistes ont donné le meilleur d’eux-mêmes ». Il y avait quatre mille églises à reconstruire, dont près du dixième étaient classées. De cette époque de l’immédiat après-guerre datent des réalisations audacieuses, comme les vitraux de la cathédrale de Metz (Jacques Villon, Roger Bissière, Marc Chagall (de 1957 à 1963), l’église Saint Remy de Baccarat en Lorraine (1953-1957, voir l’article d’Anne-Catherine Legeay Page…).
Citons aussi Notre- Dame- du- Haut de Ronchamp (Haute Saône) par Le Corbusier et Jean Prouvé, de 1953 à 19561 ,ou encore la chapelle Sainte Thérèse de Hem (Nord) dont le fondateur, Philippe Leclerq fit appel à Georges Rouault et à Alfred Manessier (qui outre son grand mur-vitrail dessina aussi des vêtements liturgiques) pour que « Dieu fût le premier servi, que les lieux fussent à sa gloire » (1958) et la cathédrale de Royan (1958) dont le maire avait recommandé à l ’architecte : « je veux que Royan ne soit pas une ville couchée mais une ville debout. Redressez-la par la silhouette de l’église » (voir article de Benoît Le Roux page..)

La Constitution « Sacrosanctum concilium » et ses requêtes au sujet de l’art

La reconstruction d’après-guerre était donc déjà commencée lorsque fut promulguée la Constitution sur la sainte liturgie, première en date des quatre Constitutions du concile Vatican II :en décembre 1963, sous le pontificat de Paul VI. Aux yeux du P. Boespflug , « cette antériorité est pleine de sens : ce qu’est l’Église «chez elle», dans sa liturgie, fut énoncé avant que ne le soient ce qu’est l’Église pour le monde (Lumen gentium), ce qui la suscite et la fait vivre (Dei Verbum), et ce qu’elle doit annoncer au monde (Gaudium et spes), comme si l’Église en prière révélait, mieux que tout, ce qu’elle est et ce qu’elle a à faire »(…) Qu’il y ait un rapport étroit entre art et liturgie, que l’art sacré tire sa sève de l’action liturgique, cela n’a sans doute pas besoin d’être longuement démontré : il en fut ainsi durant des siècles »2. Ce texte incite, poursuit le P. Boespflug, «  à ne pas perdre de vue la dimension de mystère et la portée mystique des assemblées liturgiques, toujours en danger d’être déportées vers la platitude, la routine et le verbiage ; il nous encourage à concevoir de manière à la fois plus rigoureuse et plus hardie ce que pourrait et devrait être l’art sacré chrétien du XXIe siècle, et à le distinguer mieux d’autres formes d’art religieux ou d’art tout court. »3
127 : « Les évêques, par eux-mêmes ou par des prêtres capables, doués de compétence et d’amour de l’art, s’occuperont des artistes pour les imprégner de l’esprit de l’art sacré et de la liturgie. Mais tous les artistes qui, conduits par leur talent, veulent servir la gloire de Dieu dans la Sainte Église, se rappelleront toujours qu’il s’agit d’imiter religieusement le Dieu Créateur, et de produire des œuvres destinées au culte catholique, à l’édification des fidèles, ainsi qu’à leur piété et à leur formation religieuse ».
Cette Constitution amena à réviser l’agencement architectural et le décor des églises. Les commissions diocésaines d’art sacré, en collaboration avec le CNPL et la direction du Patrimoine pour les édifices classés permirent une concertation entre commanditaires et artistes, aboutissant à des réalisations d’ensembles monumentaux, de vitraux et verrières, et à la création de mobilier liturgique. L’ombre du Père Couturier, grand rénovateur d’architecture sacrée au XXe siècle (voir notre article du N° 339) a longtemps influencé les choix esthétiques : « Il est plus sûr de s’adresser à des génies dépourvus de foi qu’à des croyants sans talent4. Les nouveaux matériaux, les nouvelles tendances esthétiques épousèrent sans difficulté la demande de grands espaces de rassemblement autour de l’autel à l’emplacement modifié. La recommandation de « participation active » des laïcs au culte et l’importance de la proclamation de la Parole de Dieu dans la liturgie entraînait de facto un nouveau traitement de l’espace et de la lumière, en ménageant aux côtés du grand espace de la nef et du chœur conçu pour des rassemblements nombreux, de petits espaces voués à des groupes plus intimes tel que le baptistère. Une « noble beauté » serait de règle, plutôt que la somptuosité, l’église étant conçue plutôt comme une « maison de prière ».
Les nombreux édifices construits des années 1960 à 1990 ont ainsi profité d’une créativité relancée ,de la facilité d’utilisation des matériaux modernes moins coûteux, et de l’enthousiasme éclairé de « curés bâtisseurs : le R.P. Louis-Bertrand Rayssiguier à l’Ermitage de Saint Rouin dans les Ardennes (1954-1961), l’Abbé Georges Matte (Notre -Dame-des -Pauvres, cité HLM du Haut-du-Lièvre à Nancy, 1966) le père Adolphe Jacobs à Notre-Dame-du-Rosaire à Forbach(Moselle), faisant appliquer sans parfois le savoir la demande des pères conciliaires de Nicée « l’art seul appartient aux peintres, l’ordonnance et la disposition appartiennent aux Pères ». Ainsi la cathédrale d’Évry consacrée en 1988, le Carmel de Saint Saulve en 1966. En France, le vitrail est l’emblème de ce renouveau esthétique et de cette exubérance artistique, compensant l’austérité des grands volumes de béton. Les peintres-verriers ont non seulement réussi des œuvres modernes, mais se sont adaptés pour les intégrer dans des monuments anciens. « Le verre coloré verse la clarté du vrai soleil, Dieu, dans l’église et le cœur des fidèles » écrit Georges Mercier en 19645. Le critique d’art Stanislas Fumet (1896-1983)a parlé de « l’art de peindre avec le beau pinceau de la lumière » à propos des vitraux de la petite église d’Étroussat dans l’Allier (1973).

Le discours des Papes Pie XII, Jean XXIII, Paul VI et Jean Paul II

Pie XII est l’auteur d’une vingtaine d’écrits sur l’art : trois encycliques ( Mediator Dei sur la liturgie, Musicae sacrae disciplina,Miranda prorsus) et quatre discours aux artistes. Dans son « Discours aux artistes catholiques » de septembre 19506, il appelait à un art par qui « les sens, loin d’appesantir l’âme et la clouer au sol, lui servent d’ailes au contraire, pour s’élever vers le vrai, vers le beau, vers le seul vrai bien, vers le seul centre où se fait l’union, où se réalise l’unité, vers Dieu. N’est-ce pas ici que s’applique à la lettre le splendide manifeste de l’Apôtre : Invisibilia enim ipsius a creatura mundi per ea quae facta sunt, intellecta conspiciuntur, sempertina quoque ejus virtus et divinitas » ? ». Il condamna l’art « immoral », « deux mots en criante contradiction » et plaida pour un art qui détient la force d’« éveiller dans l’esprit et dans l’âme de l’homme, le désir des choses que l’œil n’ a point vues, que l’oreille n’a point entendues et qui ne sont pas montées jusqu’à son cœur. » Plus tard dans son « allocution aux artistes italiens » d’avril 1952, il souligna « une certaine affinité intrinsèque entre l’art et la religion, qui fait des artistes en quelque sorte les interprètes des perfections infimes de Dieu, et particulièrement de sa beauté et de son harmonie. La fonction de tout art est en effet de briser le cercle étroit et angoissant du fini dans lequel l’homme est enfermé tant qu’il vit ici-bas, et d’ouvrir comme une fenêtre à son esprit aspirant à l’infini ». Pie XII déclara vain tout effort d’un artiste « visant à nier ou supprimer tout rapport entre la religion et l’art : il aboutirait à une diminution même de l’art, car n’importe quelle beauté artistique que l’on veuille saisir dans le monde ne peut se séparer de Dieu. (…) l’art s’élève à l’idéal et à la vérité artistique avec une chance de succès d’autant plus grande qu’il reflète avec une plus grande clarté l’infini, le divin. Plus l’artiste vit la religion, mieux est-il préparé à parler la langue de l’art, à en entendre les harmonies, à en communiquer les frémissements ». Et de conclure : « les âmes civilisées, élevées, préparées par l’art, sont mieux disposées à accueillir la réalité religieuse et la grâce de Jésus-Christ. » Sans proposer expressément aux artistes une œuvre d’éducation des esprits, il les exhorta à « harmoniser le fini avec l’infini, le temporel avec l’éternel, l’homme avec Dieu », son adresse finale les désignant comme « vous, à qui il est donné de parler un langage ». En cette même année 1952, la Commission épiscopale édicta ses « Quelques principes directeurs en matière d’art sacré », confirmant et acceptant que « les bonnes et vénérables traditions peuvent inspirer des formes neuves et belles », et que les œuvres d’art doivent être au service de la Vérité ».

Jean XXIII, s’il a porté une réelle attention à la question artistique dans l’Église, n’a produit que de courts textes de circonstance (Congrès des artistes noirs à Rome en 1959, allocution aux étudiants en architecture, lettre à l’Union catholique des artistes italiens…) et s’est questionné sur l’opportunité d’introduire l’art moderne dans les musées du Vatican.

Paul VI a réellement recherché une « nouvelle alliance » entre l’Église et les artistes. Dix-huit discours, homélies et allocutions (dont celle aux pères conciliaires du 4 décembre 1969) en témoignent. Peu après la Constitution Sacrosanctum concilium de décembre 1963 citée ci-dessus, lors de la messe de l’Ascension célébrée le 7 mai 1964, Paul VI déclara aux artistes : « dans cette opération qui traduit le monde invisible en des formules accessibles, intelligibles, vous êtes maîtres. C’est là votre métier, votre mission, et votre art consiste précisément à saisir les trésors du ciel, de l’esprit, à les revêtir d’expressions, de couleurs, de formes, à les rendre accessibles, mais pas comme le ferait un professeur de logique ou de mathématiques qui rend compréhensibles les trésors du monde inaccessible aux facultés cognitives des sens et à notre perception immédiate des choses.

Vous avez en effet cette prérogative qu’en rendant accessible et compréhensible le monde de l’esprit, vous lui conservez son caractère ineffable et transcendant, son halo de mystère, cette nécessité de l’atteindre dans la facilité et, en même temps, dans l’effort. (..) Et si nous étions privés de votre concours, notre ministère deviendrait balbutiant et hésitant, il aurait besoin de faire un effort pour devenir artistique et même prophétique.

Pour atteindre la puissance d’expression lyrique de la beauté intuitive, il lui faudrait faire coïncider le sacerdoce avec l’art.(..) il faut rétablir l’amitié entre l’Église et les artistes.

Il ajoutait, plus sévère : « Vous savez que nous ressentons une certaine blessure au cœur lorsque nous vous voyons portés à certaines expressions artistiques qui nous offensent, nous qui sommes les tuteurs de l’humanité tout entière, de la définition complète de l’homme, de sa santé morale, de sa stabilité. Vous détachez l’art de la vie, alors… » Puis, faisant un mea culpa : « nous vous avons, nous aussi, abandonnés. Nous ne vous avons pas expliqué nos choses ; nous ne vous avons pas introduits dans la cellule secrète où les mystères de Dieu font tressaillir de joie, d’espérance, d’ivresse le cœur de l’homme.

Nous ne vous avons pas eus comme disciples, amis, interlocuteurs ; c’est pourquoi vous ne nous avez pas connus.

Il n’est pas permis d’inventer une religion, il faut savoir ce qui s’est passé entre Dieu et l’homme, il faut savoir que Dieu a prescrit certains rapports religieux qu’il faut connaître pour ne pas être ridicule, ne pas balbutier ou ne pas tomber dans des aberrations. Il faut être instruits. Il faut encore cette caractéristique indispensable du moment religieux qu’est la sincérité. Il ne s’agit plus seulement d’art, mais de spiritualité. Il faut entrer dans la cellule intérieure de soi-même et donner au moment religieux, artistiquement vécu, ce qui s’y exprime ».

Et de conclure :

« La transcendance qui fait si peur à l’homme moderne est vraiment une chose qui le dépasse infiniment, et celui qui ne sent pas cette distance ne sent pas la vraie religion. Celui qui ne sent pas cette supériorité de Dieu, son caractère ineffable, son mystère, ne sent pas l’authenticité du fait religieux ».

Dans son allocution du 13 décembre 1966 aux membres du Conseil pour l’application de cette Constitution, Paul VI reprécisa ce qu’il attendait des artistes : un talent de création aboutissant à une œuvre intelligible : déplorant le manque de sens et le caractère hermétique et irrationnel de l’art moderne, il réaffirma que l’art « doit fondre ensemble la beauté et la foi ».

Jean-Paul II (1978-2005)

Ce pape a voulu, lui, une « nouvelle épiphanie » entre l’Église et les artistes. Il a concrétisé cette volonté par plus de cinquante références et mentions de l’art sacré dans des audiences, consultations, messages et allocutions, jusqu’à un motu proprio Qui res christi gerit,en octobre 1982, déclarant Fra Angelico Bienheureux7. Il commença par réunir les artistes en colloque à Munich en 1980 et par fonder le Conseil pontifical pour la culture. Un de ses textes fondateurs est sa « Lettre aux artistes » d’avril 1999 écrite par lui-même en français. Il y rappelle que « l’art des arts, c’est la liturgie, et son sommet, l’Eucharistie » et que « la beauté est en un certain sens l’expression visible du Bien, de même que le Bien est la condition métaphysique du Beau. » Jean Paul II livra aussi son analyse sur des formes d’expression contemporaines qui peuvent être de la part de l’artiste une fascination pour les « obscures profondeurs de l’âme et les plus bouleversants aspects du Mal ». Il interpella fermement les artistes, les exhortant à s’interroger sur le sens de l’homme, la vision de l’Amour, la communion entre les hommes, véhiculées par leurs œuvres. Rappelant que l’« Église a besoin de l’art », il invite enfin les artistes à « avoir besoin de l’Église », pour magnifier leurs œuvres. « L’art en s’appauvrit-il pas quand il renonce au chemin de la Vérité que représente l’Église ? C’est l’Esprit de Dieu qui transfigure la matière, et ouvre l’esprit au sens de l’Éternité. ».

Au tournant du XXIe siècle, sont intervenus bien des changements que nous tenterons de cerner dans un article ultérieur. Dès les années 70 du XXe siècle, se posait la question « Faut-il encore construire des églises ? » Dans le livre éponyme de Jacques Baboulène8, les auteurs constatent que la chute de la pratique, la baisse des vocations, la baisse des ressources de l’Église,l’application de la réforme liturgique, incitent à se poser la question… d’autant qu’elles s’accompagnent (ou ont provoqué)une crise de l’architecture religieuse… Cinquante ans plus tard, cette question est, si l’on ose dire, cruciale. Le mot de Maurice Barrès est lui aussi d’actualité : « La solidité physique des sanctuaires, c’est d’être moralement féconds. Parlons, écrivons, plaidons, projetons le plus de lumière que nous pourrons sur la noble église du village. La plus belle louange que nous en pourrons dire n’est rien auprès du service que lui rend le prêtre s’il la remplit de fidèles. Il est impossible de restaurer les églises si l’on ne restaure pas en même temps les âmes9 ».

Bibliographie

D. Menozzi, « L’Église et les arts visuels, Éditions du Cerf, 1991.

« Eglises parisiennes du XXe siècle » Action artistique Ville de Paris, 1996

« Edifices religieux du XXe siècle en Ile-de-France » sous la direction de Claire Desvignes-Dumas, Beaux-Arts Éditions, 2013.

« Patrimoine sacré XXe-XXIe siècles » P-L Rinuy, A. Le Bas, C. Desvignes-Dumas,Editions du Patrimoine/ Centre des monuments nationaux.

« Créations contemporaines en vitrail : vitraux du XXe siècle et architecture sacrée » Centre international du vitrail de Chartres, Mai 2005.

« En quête de modernité, Églises lorraines des Trente Glorieuses » Lucile Pierron ,Métis Presses, 2021 .

« Jean Paul II et les artistes » Pascal Fagniez, Éditions de l’Emmanuel , 2007.

« Églises de France reconstruites » catalogue d’exposition du 6ème Salon d’Art sacré au Musée d’Art Moderne de Paris, septembre-octobre 1956.

Pie Régamey « Reconstruire les églises », in « L’Art sacré » cahier n°1 (à la reparution de la revue en 1946)

Article publié dans la revue Una Voce n°341 de Mars – Avril 2023

  1. Renzo Piano (né en 1937) a parachevé ce travail par la construction d’un couvent et d’une porterie inaugurés en 2011.
  2. François Boespflug. Art et liturgie : l’art chrétien du XXIe siècle à la lumière de « Sacrosanctum concilium ». In: Revue des Sciences Religieuses, tome 78, fascicule 2, 2004. pp. 161-181.
  3. ibid.
  4. lettre à Le Corbusier, 1953
  5. Georges Mercier « La tendance non-figurative dans l’art sacré chrétien contemporain » Thèse de doctorat ès lettres, de Boccard, 1964.
  6. au Congrès international des artistes catholiques.
  7. sans passer par la Congrégation pour la cause des saints.
  8. Jacques Baboulène, Michel Brion, Jean-Marie Delalande « Faut-il encore construire des églises ? » Éditions Fleurus, 1970.
  9. Maurice Barrès « La grande pitié des églises de France », Emile-Paul Frères, 1914. Réédité par les Presses universitaires du Septentrion et l’INHA, 2012.